Rendez-vous le samedi 16 décembre pour l’ouverture des pré-ventes !
Pour ne pas manquer l’offre de lancement unique de cette formation inscrivez-vous ci-dessous :
Samedi 16 décembre
Lundi 27 décembre
Lundi 1er janvier
Lundi 15 janvier
Lundi 29 janvier
Lundi 12 février
« Tout le monde peut dessiner, il suffit d’y passer du temps et d’avoir les bonnes techniques. »
Auteur : Quelqu’un qui sait déjà dessiner.
Cette affirmation, peut-être maintes fois lue ou entendue, vous agace-t-elle ?
Peut-être avez-vous envie de répondre que quand on a passé des heures sur un dessin qui ne ressemble en rien à ce que nous avions en tête, on a du mal à adhérer au principe. Ce n’est pas moi qui vous dirais le contraire, il n’y a rien de plus frustrant que d’avoir ce sentiment de temps et de matériel gâché. Sans parler de notre confiance en nous réduite à quelques pelures de gomme crasseuses sur le bord d’une table.
Normal, me direz-vous, « il faut commencer par apprendre les bases ». Et, peut-être que c’est bien cela le problème : voyons les choses en face, pour la plupart des gens c’est à peu près aussi réjouissant qu’un rendez-vous chez le dentiste.
Dessiner un immeuble en trois points de fuite, ombrer une pomme, voire essayer de reproduire un corps nu dans une petite pièce remplie d’inconnus… sont des exercices qui peuvent rebuter, on peut le comprendre, plus d’un débutant.
Ne vous méprenez pas, ils sont loin d’être superflus (tout comme les visites chez le dentiste). Pour certaines personnes, ils sont même agréables (…je pense que la comparaison avec notre practicien s’arrête là.)
Simplement, ils manquent certainement de charme pour donner envie d’y passer son précieux temps libre lorsque l’on souhaite débuter dans le monde du dessin.
La bonne nouvelle, c’est qu’apprendre le dessin n’a pas à ressembler à ça. J’irais même jusqu’à dire, instaurer une habitude créative peut être amusant, épanouissant, et encourageant.
Le carnet de croquis désacralise le dessin. On peut dessiner dedans avec absolument n’importe quoi : stylo bille ou feutre pour enfant, mais aussi aquarelle ou gouache ou stylos sophistiqués à pointe biseautée ou souple ou en forme de pinceau…
On peut produire un dessin en 5 minutes en attendant son bus, ou lui consacrer une heure dans la salle d’attente de son médecin.
On peut explorer des sujets que l’on n’aurait jamais osé tenter sur une création classique. Quelle importance si l’on rate ? Ce n’est qu’une page parmi tant d’autres, et on a noté à côté de son essai tout ce qu’on a appris de cette tentative pour que la prochaine soit meilleure.
On peut tester des associations de techniques, tremper ses orteils dans l’abstrait, faire tout ce qui nous passe par la tête, tout ce que l’on n’a jamais essayé (et que l’on n’aurait jamais pensé essayer un jour) sur un support où tout est permis.
Beaucoup de personnes qui se dirigent vers la tenue d’un carnet de croquis ont eu cette idée par intérêt pour le carnet de voyage.
Désireux d’être capables, eux aussi, de documenter leurs déplacements, ils se sont peut-être équipés avec allégresse de tout le matériel nécessaire soigneusement empaqueté dans leur valise, pour se rendre compte une fois sur place que s’ils réussissaient à faire deux croquis et raconter trois excursions, ce serait déjà un miracle.
Ils se sont confrontés à la dure réalité : On ne devient pas Serial Croqueur en un jour.
C’est une habitude qui, une fois ancrée, modifie notre vision du monde pour toujours. Il est vrai que croquis après croquis, cette vision s’affine, se coordonne avec notre main, murit et se développe en permanence. Mais cela ne se limite pas à une simple compétence technique :
Un Serial Croqueur n’attend pas que le moment idéal, le sujet parfait et les planètes soient alignés, il prend du temps pour dessiner, et sa vision du monde est si aiguisée qu’il sait voir toute la beauté d’une feuille d’arbre recroquevillée, d’une tasse de café fumant sur un bord de table, ou d’un vieil outil de jardin rouillé – ce qui lui permet d’apprendre en permanence, et de ne jamais manquer d’inspiration.
En soi, la tenue régulière d’un carnet de croquis n’a rien de difficile.
Il faut avoir un carnet, de quoi dessiner dessus, ouvrir son carnet, et dessiner dessus. Répéter l’opération régulièrement, et le tour est joué. C’est simple, non ?
Ce serait simple si l’être humain n’était pas aussi limité par ses attentes déraisonnables. Et particulièrement, par cet éternelle insatisfaction à l’égard de ses productions. Et du choix de ses sujets. Et de son matériel. De l’insatisfaction à la démotivation il n’y a qu’un pas, et c’est ainsi que de beaux carnets trônent sur une étagère, à peine entamés et déjà relégués au rang de souvenir un peu honteux.
N’ayez pas honte d’avoir essayé quelque chose de nouveau. N’ayez jamais honte d’explorer votre créativité quel qu’en soit le résultat.
Il n’est jamais trop tard pour instaurer une nouvelle habitude, pour devenir un nouvel artiste.
Vous aussi, vous pouvez créer des souvenirs uniques de vos voyages.
Vous aussi vous pouvez dégainer votre carnet dès que vous avez 10 minutes libres.
Vous aussi vous pouvez ressentir toute la joie de l’anticipation en tombant nez à nez avec un objet dont la forme, les reflets ou les textures vous innondent d’inspirations.
Je ne vais pas vous mentir, l’insatisfaction n’est pas un sentiment facile à erradiquer.
Mais ce n’est pas grave. Tout ce qui compte, c’est de ne pas la laisser gagner.
Un Serial Croqueur sait que cette émotion est naturelle et passagère. Il sait que pour la maîtriser il est nécessaire de tourner la page et de passer au croquis suivant. Croquis après croquis, son insatisfaction a de plus en plus de mal à percer sa joie de créer entre ses compétences qui se développent et son habileté à accepter ses erreurs qui se renforce.
En quoi une formation pourrait être utile s’il suffit de dessiner régulièrement et d’avoir la volonté nécessaire pour y arriver ?
Je me suis longtemps posé cette question. Faire une formation juste pour le plaisir de faire une formation n’est pas mon objectif (croyez-moi, vu le travail que ça représente je préfère me consacrer à des projets réellement utiles).
Pourtant, j’ai toujours senti qu’une grande quantité de personnes restaient frustrées de ne pas réussir seules à se lancer. Ou à ne pas avoir le déclic qui rend cette pratique si passionnante. Je sentais que je pouvais faire quelque chose pour aider ces artistes à trouver leur façon de créer.
Grâce à l’aide de mes abonnés, qui ont répondu à mes nombreux sondages visant à identifier leurs blocages et leurs attentes, Serial Croqueurs est née.
Elle ne contient aucun tutoriel à suivre pas à pas pour faire le même dessin que moi, bien que rien n’empêche les élèves les plus frileux de le faire s’ils le souhaitent.
Mais tout le but est de vous faire trouver vos propres sujets, de les représenter avec votre propre matériel, en vous donnant les compétences clés dont un Serial Croqueur a besoin :
Le premier module est basé sur la découverte de l’univers du carnet de croquis et les deux méthodes pour dessiner n’importe quel sujet, le second module est dédié à l’ajout d’écritures à ses créations, et le troisième ancre l’habitude dans son quotidien et ouvre les possibilités aux croquis en extérieur.
Devenez un Serial Croqueur en suivant ce programme pédagogique sur 3 modules (+ Un bonus).
Les forces de la formation sont :
Révolution Gouache
Tendres Pastels
Conseils et matériel
Pratique et exercices
Bilans
Conseils et inspirations :
Techniques et pratique :
Exemples à votre disposition :
Page de garde de son carnet
Bilans
Instaurer une habitude :
Techniques de croquis plus avancées :
Bilans
Les défis croquis sont des thèmes qui vous sont donnés chaque jour pour vous aider à pratiquer quotidiennement. Tous les participants pourront publier leurs croquis sur l’espace communautaire et ainsi profiter de l’émulation créée par la formation pour maintenir une pratique régulière. Les défis croquis durent deux semaines et se clôturent par une vidéo de bilan.
Bonjour ! Je m’appelle Cindy, et je suis Serial Croqueuse depuis 2015.
J’ai à mon actif plusieurs dizaines de carnets terminés, que ce soient avec des croquis de mon quotidien ou de mes déplacements.
J’ai à cœur d’explorer le plus de thèmes et de styles possible à travers mes carnets, afin de nourrir mon insatiable passion pour le monde qui m’entoure.
J’enseigne aussi l’aquarelle, la gouache et le pastel sec à travers mon site ainsi que ma chaîne YouTube de 86 000 abonnés. J’interviens régulièrement dans le magazine Plaisirs de Peindre, et dans celui du Géant des beaux-arts.